Emmanuel Macron et son gouvernement croient en l’avenir de la filière nucléaire en France. Malgré les problématiques de traitement des déchets et d’approvisionnement en Uranium. Des jeunes seront rémunérés et formés pour préparer l’avenir de cette filière.
Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, déclare : « Pour atteindre nos objectifs
climatiques, nous aurons besoin dans les années à venir de toutes les sources d’électricité décarbonée,
renouvelables et nucléaire.
Dans ce cadre, Barbara Pompili, Bruno Le Maire et Agnès Pannier-Runacher ont annoncé ce mardi, avec
l’Université des métiers du nucléaire (UMN), le déploiement d’un dispositif de bourses d’étude nucléaire permettant de promouvoir l’attractivité de la filière nucléaire sur des formations répondant aux besoins de métiers en tension : électricien industriel, chaudronnier, tuyauteur, mécanicien machines tournantes et soudeur.
600 euros par mois pour ces élèves du nucléaire
Ces bourses d’étude d’un montant de 600 € par mois et par élève, financées par France Relance,
sont destinées à des élèves sélectionnés au mérite et sur leur motivation pendant leur formation (BTS,
BAC Pro ou CAP) préparant à ces métiers en tension.
Pour l’année scolaire 2021-2022, 50 élèves de 10 lycées pilotes pourront bénéficier de cette bourse
d’étude, qui sera ensuite étendue à 200 élèves répartis dans une vingtaine de lycées pour l’année
scolaire 2022-2023, puis 2023-2024 a indiqué le communiqué de presse.