Ce nombre a déjà dépassé celui de l’an dernier, où plus de 250.000 personnes avaient été touchées dans le pays.
Le rapport d’OCHA révèle également que près de 2.700 hectares de cultures et de terres agricoles, ainsi que des centaines de maisons, ont été détruits par des rivières en crue et des pluies record depuis le mois dernier, menaçant la sécurité alimentaire et les moyens de subsistance.
L’Organisation internationale pour les migrations (OIM) a dit dans un communiqué publié ce vendredi soutenir les efforts nationaux et humanitaires et fournir une aide d’urgence aux personnes les plus touchées.
Une illustration du dérèglement climatique en cours
Si certaines parties du Tchad sont confrontées chaque année à de fortes précipitations, les pluies de cette année sont sans précédent indique le bureau des Nations Unies. Leur augmentation leur degré de variabilité plus élevé ont provoqué des crues soudaines aux conséquences dévastatrices pour les populations, en particulier dans les zones rurales.
Ces phénomènes météorologiques extrêmes illustrent les effets néfastes du changement climatique dans la région estiment des ewperts.
Or malgré l’urgence de la situation, les fonds restent limités pour garantir que les personnes les plus touchées, y compris les déplacés, reçoivent une assistance telle que la fourniture d’abris, de nourriture et d’articles non alimentaires.