Cette proposition de consultations gratuites, doit être intégrée au projet de loi sur le financement , de la Sécurité sociale. Si les enfants font l’objet de visites à dates régulières, ce n’est plus le cas ensuite.Au-delà de 50 ans, les assurés sociaux reçoivent , bien des invitations à des dépistages organisés, mais pas pour une prévention globale.Il existe bien des Examens de prévention en santé, , ou bilans de santé, réalisés dans des centres spécifiques, mais c’est à l’assuré de les demander.Les personnes les plus éloignées du système de santé, sont théoriquement prioritaires, mais dans les faits, ceux qui les réalisent ne sont pas forcément la cible visée.Selon le ministre, la consultation à 25 ans , permettrait de « faire le point sur les vaccins, l’activité physique, d’éventuelles addictions… ».Celle à 45 ans permettrait d’anticiper « la nécessité de , participer aux dépistages » et « un bilan sur l’activité physique et d’éventuels troubles de santé mentale ». .Celle à 65 ans mettrait l’accent sur « la perte , d’autonomie, le dépistage des cancers et de toutes les maladies qui peuvent être prévenues. ».