Le bac, c’est fait. Place aux inscriptions pour l’année 2009- 2010. Cette année encore, ils seront nombreux à effectuer une première inscription à la fac. Entre errance administrative et impasse dans les bureaux des universités, la course à l’inscription peut s’avérer difficile. Mieux vaut être averti : la fac c’est parfois l’art de la débrouille. Et l’indépendance commence dès l’inscription. Retour sur les modalités d’inscription propres à chaque pôle universitaire toulousain.
Mirail : inscription en deux temps
Entre le 20 janvier et le 20 mars dernier, tous les futurs étudiants ont du effectuer une première phase de préinscription sur le site internet admission-postbac.fr. Pour les têtes enl’air ou les indécis, une procédure complémentaire sera ouverte sur ce même site entre le 25 juin et le 16 septembre. De quoi remplir les bancs de la fac.
Deuxième temps : l’inscription dans les locaux. Un rendez-vous sera fixé par la fac entre le 21 et le 28 septembre. Inscription administrative, inscription dans les groupes de travail et obtention de la carte étudiante à la clef.
Paul Sabatier mise sur internet
La course aux inscriptions administratives ont débuté le mercredi 8 juillet à l’université Paul Sabatier. Fin des hostilités le 21 juillet. Depuis le 9 juin, tous les dossiers d’inscriptions sont déjà disponibles sur le site internet de la fac. Ici aussi, deux étapes attendent les futurs détenteurs de la carte étudiante : une phase administrative et une phase pédagogique.
L’Université des sciences sociales fait du sur place
Du 7 juillet au 16 juillet, la fac de Toulouse 1 délivre les précieux dossiers d’inscription. Une fois dument rempli, ils devront être remis à l’administration sur place. Aucun dossier ne sera accepté par courrier. Rigueur et règlement : la fac de droit montre le droit chemin dès le retrait des dossiers. On est loin de la souplesse de la fac de sciences humaines.
Quel que soit les choix des nouveaux bacheliers, ils n’y couperont pas. Passage obligé avant les années fac, le temps des inscriptions pourrait déjà en décourager bon nombre. Le meilleur reste à venir.
Oïhana Igos