Christophe Villate, secrétaire général du syndicat CGT Michelin, estime que d’autres solutions étaient possibles pour éviter la fermeture de l’usine Michelin de Vannes. « On rentre dans le dur », estime-t-il, sur le barrage filtrant mis en place au Liziec où les pneus de la colère brûlent. Alors que les manifestants rejoignent peu à peu l’usine Michelin où des politiques sont attendus en début de matinée, à Vannes (Morbihan) ce vendredi 8 novembre 2024, Christophe Villate, secretaire général du syndicat CGT Michelin, estime que d’autres solutions étaient possibles pour éviter la fermeture de l’usine.