Parmi les conséquences de l’annonce surprise de la dissolution de l’Assemblée nationale : un coup d’arrêt soudain à l’examen de textes cruciaux comme celui sur la fin de vie, produisant un sentiment de « sidération » pour les uns, d' »immense gâchis » pour les autres. Des organisations d’agriculteurs ont également fait part de leurs craintes de voir « remis en question » par la dissolution de l’Assemblée les travaux engagés sur le projet de loi d’orientation agricole ou sur un renforcement du dispositif Egalim destiné à protéger les revenus des agriculteurs.