A l’ouverture du premier procès aux assises pour terrorisme d’ultradroite, l’un des principaux accusés a reconnu lundi avoir « envisagé des projets de violence », tout en assurant qu’il n’aurait pas été capable de « passer à l’acte ». Quatre hommes de la mouvance néonazie âgés de 22 à 28 ans sont jugés par la cour d’assises des mineurs de Paris – l’un d’entre était mineur au moment des faits – pour association de malfaiteurs terroriste.