La Journée célèbre la diversité et sensibilise aux droits humains des personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, transgenres et intersexuées (LGBTIQ+).
Dans sa déclaration, la cheffe des droits de l’homme de l’ONU, Michelle Bachelet, a rappelé que malgré les nombreux changements positifs récents dans le monde qui ont résulté du travail ardu des défenseurs des droits humains des LGBTIQ+, « les violations généralisées se poursuivent : meurtres, torture, violences sexuelles, criminalisation et détention arbitraire ».
Selon le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA), plus d’un tiers de tous les pays criminalisent encore les relations homosexuelles. Et les personnes LGBTQI+ se voient refuser les protections juridiques, les soins de santé essentiels, les droits civils et humains, y compris le droit à l’autonomie corporelle lorsqu’elles sont contraintes de subir un traitement médical ou une intervention chirurgicale inutile.