6 personnes soupçonnées « d’une action violente » contre le chef de l’Etat ont été arrêtées ce mardi a indiqué la presse. Ce réseau aurait été démantelé dans l’est de la France dans les départements de Isère, de l’Ille-et-Vilaine et en Moselle. Pour l’heure, les preuves ou les intentions de ces membres qualifiés de l’ultra droite ne sont pas connues. Les policiers du renseignement intérieur (DGSI) sont intervenus dans le cadre d’une procédure d’enquête préliminaire ouverte par le parquet de Paris du chef d’association de « malfaiteurs terroristes criminelle ».