Un rapport sur la ligne TGV à grande vitesse a été remis au gouvernement. Il valide le projet. Satisfecit du côtés des élus de la région.
Le rapport consacré aux infrastructures de transport à l’étude a été remis jeudi 1er février par le président du Conseil d’orientation des infrastructures, Philippe Duron, à la ministre des transports, la présidente de la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée, Carole Delga, le président du Conseil départemental de la Haute-Garonne, Georges Méric et le président de Toulouse Métropole, Jean-Luc Moudenc, expriment leur satisfaction suite au classement de la ligne à grande vitesse Bordeaux-Toulouse parmi les projets d’infrastructure nationaux prioritaires et réaffirment leur vigilance sur l’engagement d’un projet global.
« Le rapport Duron confirme ce que nous martelons depuis plus de 10 ans : le projet de ligne à grande vitesse entre Bordeaux et Toulouse est une nécessité pour accompagner le développement démographique et économique, et les besoins croissants de mobilité du sud-ouest de la France. C’est l’aboutissement logique et légitime du combat que nous menons ensemble avec détermination et sans relâche pour raccorder la capitale de l’Occitanie et le département de la Haute-Garonne au réseau européen de la grande vitesse » déclarent-ils.
« Cependant, nous réaffirmons notre conviction à considérer le projet GPSO comme une opération unique et globale, dont les composantes – ligne nouvelle à grande vitesse et aménagements des nœuds ferroviaires existants à l’approche de Toulouse et de Bordeaux – demeurent non phasables. Ceci vaut particulièrement pour le tronçon central Bordeaux-Toulouse incluant AFSB et AFNT. Le tronçon Bordeaux-Toulouse ne doit pas être scindé en plusieurs tranches.
Notre détermination et notre mobilisation pour faire aboutir le projet de LGV Bordeaux-Toulouse restent intactes » concluent-ils.