Marine Le Pen était lundi en visite au Liban. Dans le même temps, le siège de son parti, le Front National, a été perquisitionné dans l’enquête sur les emplois présumés fictifs au Parlement Européen. Une épine dans le pied de la candidate à l’élection présidentielle ? Un argument supplémentaire contre le système et l’Union Européenne ? Force est de constater que l’émergence de cette affaire dans les médias, n’a pas modifié les sondages qui placent Marine Le Pen en tête des intentions de vote pour le premier tour des élections présidentielles.
Vidéo – D’après le rapport de l’Office européen de lutte antifraude (Olaf), Marine Le Pen a admis avoir salarié fictivement son garde du corps Thierry Légier, employé comme assistant parlementaire d’octobre à décembre 2011. Caroline Michel, journaliste à « L’Obs » qui a enquêté sur le sujet, a répondu aux questions des internautes en direct sur Facebook.- Copyright : NouvelObs