Le Président de la République, en application de l’article 17 de la Constitution et après avis du ministre de la justice, a décidé d’accorder à Madame Jacqueline SAUVAGE une remise gracieuse de sa peine d’emprisonnement de 2 ans et 4 mois ainsi que de l’ensemble de la période de sûreté qu’il lui reste à accomplir a indiqué un communiqué Élyséen publié dimanche en fin d’après midi .
Cette grâce lui permet de présenter immédiatement une demande de libération conditionnelle.
Le Président de la République a voulu, face à une situation humaine exceptionnelle, rendre possible, dans les meilleurs délais, le retour de Mme Sauvage auprès de sa famille, dans le respect de l’autorité judiciaire a précisé la déclaration de François Hollande.