Au lendemain du référendum en Grèce, Merkel et Hollande se sont réunis en urgence à Paris pour adopter une position commune. La France et l’Allemagne ouvrent la porte à de nouvelles négociations mais la marge de manoeuvre sera étroite. Les principales déclarations :
« Nous avons aussi entendu le message de tous les partis démocratiques grecs qui se sont réunis aujourd’hui et qui ont réaffirmé ensemble, leur volonté que leur pays reste dans la zone euro ».
« La porte est ouverte aux discussions et il revient maintenant au gouvernement d’Alexis TSIPRAS de faire des propositions sérieuses, crédibles pour que cette volonté de rester dans la zone euro puisse se traduire avec un programme qui donne de la durée ».
il y a urgence
» il reviendra aux chefs d’Etat et de gouvernement de définir une position à partir des propositions qui seront faites par la Grèce. Mais j’insiste sur le fait qu’il n’y a plus beaucoup de temps et qu’il y a urgence »
« C’est cet équilibre entre responsabilité et solidarité qui doit être notre ligne de conduite pour les jours qui viennent ».