Une comédie attendue depuis quelques mois, un remake de la fameuse Belle et la bête et Isabelle Huppert qui n’est pas qu’à la médiathèque de Toulouse. Le programme des films dans vos salles ce mercredi.
Ils sont trois, ils sont frères, ils sont de retour. Non, pas d’évocation des Oscars cette semaine, puisque les principales sorties du 12 février sont françaises, et non nominées. Ces trois frères (le titre du film est déjà donné) sont les fameux Inconnus. Didier Bourdin, Pascal Légitimus et Bernard Campan sont de retours pour la suite du célèbre « Les Trois frères » de 1995. Intitulé « Les Trois frères, le retour » le film présentera (encore) les retrouvailles de trois frères atypiques qui ne s’apprécient pas plus que ça et que tout oppose. Cette fois-ci ils sont réunis par leur mère pour d’autres aventures cocasses. Rire garanti.
Une belle nommée Léa Seydoux, une bête incarnée par Vincent Cassel et voilà une nouvelle adaptation du célèbre conte « La Belle et la Bête ». Primée à Cannes l’année dernière, la brillante Léa Seydoux se retrouve aux côtés d’un acteur qui n’a plus grand chose à prouver. André Dussolier incarne le père de « Belle » dans film fantastique de Christophe Gans. L’histoire est inchangée : La Bête condamne un marchand, le père de Belle, à mort pour avoir volé une rose dans son jardin. Belle veut sauver son père et se sacrifie. Mais la Bête se prend d’affection pour la jeune fille et une histoire d’amour -improbable- s’en suit.
Non, Isabelle Huppert n’est pas seulement marraine des 50 ans de la cinémathèque de Toulouse. Elle est à l’affiche d’ « Abus de faiblesse » aujourd’hui dans les salles. Ce drame de Catherine Breillat met en scène Maud, une cinéaste en proie à une hémorragie cérébrale qui tue la moitié de son corps et la plonge dans une solitude monstre. Seule avec sa télévision, elle découvre un arnaqueur de célébrités dans une émission. Elle se fixe un objectif : l’enrôler pour son prochain film. Incarné par l’improbable rappeur Kool Shen, cet arnaqueur va aussi réaliser ses talents sur la pauvre Maud… victime d’un abus de faiblesse.