Jean Marc Ayrault a évoqué mardi après midi les incidents du 11 novembre à Paris. Il a pointé la responsabilité d’une poignée de sympathisants d’extrême droite.
Ayrault a fait preuve d’autorité mardi à l’Assemblée nationale. En première ligne lors des questions au gouvernement, le Premier ministre a évoqué le « climat raciste » et les dérives des membres de l’extrême droite. Il a qualifié les auteurs des sifflets lors des cérémonies du 11 novembre à Paris de « poignée » de sympathisants d’extrême droite « bien connus ». « A travers le président de la République c’est la République » que l’on vise a t il clamé. « Ils n’aiment pas la République et la démocratie » a t il encore souligné.
Autre thème évoque mardi au Parlement : l’agression dont ont été victimes plusieurs élus ce week end. Union nationale autour des élus de Châteaurenard dans le département des Bouches-du-Rhône poignardés. Le Premier ministre Jean Marc Ayrault et Jean François Copé disent leur solidarité avec les victimes.
Le Ayrault Bashing initié par le député PS Malek Boutih va t il prendre fin ? Sur les réseaux sociaux, Malek Boutih a subi l’effet boomerang de ses déclarations appelant à un changement de Premier ministre : rappel de divers positionnements, demandes d’exclusion du camarade Boutih, faiblesse, crainte etc etc. Photo Toulouse7.com Jean Marc Ayrault et Harlem Désir à Toulouse