En campagne pour les élections législatives, François Simon a rapidement réagi à l’annonce de la composition du premier gouvernement Ayrault. « Le Président de la République François Hollande, et le Premier Ministre Jean-Marc Ayrault, ont nommé un nouveau gouvernement pour préparer et conduire le changement dont la France a besoin dans les domaines économique, social et environnemental. J’adresse tous mes voeux de succès à cette nouvelle équipe placée sous le signe de la parité, de l’unité et de l’exemplarité » a ainsi indiqué François Simon qui affrontera dans la course à l’Assemblée nationale, Jean Luc Moudenc et le maire de Balma et candidat dissident socialiste Alain Fillola.
« Lors de son allocution d’investiture à l’Elysée, François Hollande a justement rappelé que, conformément à son programme « il est temps de remettre la production avant la spéculation, l’investissement d’avenir avant la satisfaction du présent, l’emploi durable avant le profit immédiat. Il est temps d’engager la transition énergétique et écologique. » » a encore déclaré François Simon.
Sans nommer son ancien camarade Kader Arif et en omettant de saluer la nomination de sa consoeur PRG au Conseil régional, Sylvia Pinel, François Simon explique qu’ « Il s’agit d’une feuille de route à laquelle les écologistes souscrivent pleinement, si bien que Cécile Duflot et Pascal Canfin ont été nommé-e-s au gouvernement pour y porter la parole de notre mouvement, en partenariat avec d’autres composantes de la gauche. Ainsi, ce nouveau gouvernement est placé sous le signe de la parité entre femmes et hommes, de la diversité des ministres qui le composent. Je me sens fier et solidaire de cette nouvelle génération politique ».
« J’adresse tous mes vœux de succès à ce gouvernement et, plus que jamais, je suis déterminé à conquérir la confiance et le mandat des électeurs de la 3ème circonscription de la Haute-Garonne afin de prendre pleinement part à l’élaboration des politiques de changement que les Français appellent de leurs vœux car je suis le candidat de la majorité présidentielle » a conclu François Simon.