« Les ours ne sont pas une espèce menacée en Europe, ils existent et se reproduisent dans les forêts de l’Europe Centrale » a déclaré vendredi le président du Conseil économique et social régional Jean Louis Chauzy.
« L’espèce menacée dans les Pyrénées, ce sont les bergers, c’est le pastoralisme, c’est l’économie de montagne. 2011 doit être l’année des Pyrénées selon les vœux du Président de la Communauté de Travail des Pyrénées Martin MALVY, il faut en faire l’année de la défense d’une montagne vivante et habitée pour sauver les Pyrénées, il faut d’abord sauver les bergers, ceux qui connaissent et font vivre la montagne » a souligné Chauzy qui estime que « l’ours, comme le loup est un prédateur, la cohabitation est impossible, il faut choisir. »
« Il faut aussi penser aux hommes, à leurs difficultés et à leur détresse. Le gouvernement devrait avoir d’autres sujets de préoccupations pour permettre aux éleveurs de vivre dignement de leur travail. Il ne faut pas aggraver la désertification des zones rurales et de la montagne » a conclu Jean-Louis Chauzy Président du Conseil Economique, Social et Environnemental Régional de Midi-Pyrénées et par ailleurs, Administrateur des Parcs Naturels Régionaux.
Photo CC/Bernard-Boehne : Ours des Pyrénées septembre 2002
la bonne vieille peur de l ours…
en meme temps ils vont tous vouloir le buter.. donc c est un peu le condamner que de le foutre la ce pauvre ours..
mais bon ca legitime les indemnisations » c est l’ ours » !
je cite:
« Les ours ne sont pas une espèce menacée en Europe, ils existent et se reproduisent dans les forêts de l’Europe Centrale » a déclaré vendredi le président du Conseil économique et social régional Jean Louis Chauzy. »
comparaison *****!
pour autant que l’on en sache il ne s’agit pas de globaliser la présence de l’ours sur la surface de l’Europe, mais dans une zone bien plus limitée que sont les Pyrénées!!
l’ours fait partie du patrimoine FRANCAIS! même s’il passe la frontière espagnole..dans les deux sens… cette montagne est son lieu d’habitation originelle et à ce titre à d’autant plus de légitimité à y être représenté bien plus que l’homme qui détruit le biotope de tout un tas d’espèces pour des sites touristiques skiables et pires encore.
cessons de faire pleurer sur le sort des bergers, la concurrence internationale est leur seule ennemie, pas l’ours.
la désertification des campagnes est due à tout autre chose, et les commissions européennes les connaissent bien elles en sont à l’origine!
prendre la nature en otage pour prétendre que ses composantes naturelles sont les responsables uniques des difficultés des éleveurs et des bergers est se moquer du monde! ou avoir l’esprit bien étroit, à l’heure où nous sommes nous savons bien tous qu’il faut préserver car nous sommes en danger certes, mais par notre faute. il faut redresser la barre et cesser de croire et de se persuader que seul le bipède sait gérer la nature..; il n’y’ a qu’a se pencher sur tous derniers évènements climatiques pour en être conscients … même s’il il y en a eut par le passé, la force, la violence et les répétions n’étaient pas aussi flagrantes et le monde scientifique l’attestant avec autant de vigueur qu’il le peut n’en est que méprisé par les faux économistes et bons penseurs politicards se disant du côté des locaux!
foutaises!!! que ses positionnements ***** laissons la nature tranquille modelons là à nos besoins, soit, mais ne la détruisons pas la politique de la terre rasée de tous prédateur naturels ne fera pas vendre plus de moutons ou de vaches et les pertes de ces messieurs ne seront plus indemnisées!
berger, éleveurs, seules professions où l’état rembourse les pertes grâce aux impôts des citoyens de la France entière et la France entière n’aurait pas son mot à dire sur la justesse à réintroduire pour maintenir des effectifs sur l’utilisation de ses impôts, de vos impôts!
heureusement que les pyrénéens soient pyrénéens, pour peu qu’ils aient pu être indiens ou africains face à de réels fauves, ou canadiens le nombre d’ours y est bien plus conséquent, qu’auraient ils osé demander, le massacre de ces espèces pour leur seule survie à eux misérables bipèdes, ce qui tue les bipèdes dans ces pays dire que l’Europe vient d’aligner les suédois pour leur velléité à éliminer des loups pour diverses alibis pas clairs, mais se dévoilant quelque peu. l’homme s’emmerde il lui faut un bouc émissaire, le chasseur se pose en sauveur. enfin une occupation! Digne de rien mais qui nous les remets en exergue!
Cessons aussi de de légitimer un lobby de loisir comme étant une organisme régulateur de la faune!
Cessons de mettre en avant ce simplisme visant à affirmer que seuls les gens du terroir (on a bien vu que côté agriculture ce n’était plus le cas) connaissent la nature et ses fonctionnements surtout en matière de biodiversité. Les exemples destructeurs sont à l’ordre du jour sont connus et reconnus, déforestations, abattage des haies, pesticides, insecticides, engrais en surdosage, au point que les utilisateurs en sont malades eux mêmes!
Tout cet ensemble à peine abordé là, n’est en soi que bien plus grave et important pour l’homme que l’introduction d’une ourse dans les Pyrénées. Et ce n’est pas sa non présence qui fera aller mieux éleveurs, bergers, et le reste.