L’ancien maire de Toulouse, proche de Philippe Douste-Blazy, a enfin réalisé son coming out en affichant son appartenance à l’UMP. Longtemps, les équipes de Moudenc avaient refusé d’afficher leur proximité avec le parti de Nicolas Sarkozy. Une stratégie perdante.
Vainqueur de la guerre interne qui l’a opposé à la député européenne Christine de Veyrac, Jean Luc Moudenc est désormais candidat à la présidence de l’UMP 31.
A la veille d’élections cantonales, présidentielle et surtout législatives, Moudenc est a priori certain d’occuper une position importante au sein de l’appareil politique. Jean Luc Moudenc, malgré ces nouvelles responsabilités, devrait rester conseiller municipal de Toulouse.