Les partisans du leader communiste Olivier Besançenot ont une dent contre les patrons. Surtout les patrons toulousains des entreprises Molex et Freescale.
Dans une lettre de diffusion interne que la rédaction de Toulouse7.com s’est procurée, la branche toulousaine du parti trotskyste vient en effet de rappeler son axiome économique : Usines sans patron et autogestion démocratique.
Pour les ultras communiste, la situation est simple notamment chez Molex ou Freescale : « il y a un truc qui cloche ».
Et les communiste de poser la question : « dilapider le savoir faire, le travail et l’avenir des salariés de la région : peut on laisser une petite dizaine de comptables ruiner la vie de milliers de salariés formés, productifs et pouvant créer des richesses pour la communauté ? »
Pour réfléchir à cette thématique, les membres du NPA Toulouse ont invité un salarié argentin pour parler de l’autogestion et de son expérience dans l’usine argentine zanon fasinpast. Le déba, précédé de la projection d’un film aura lieu au cinéma Utopia le 7 septembre prochain.