La France est gravement préoccupée par le refus des autorités birmanes de coopérer avec le Secrétaire général des Nations unies notamment en lui interdisant de rencontrer Aung San Suu Kyi a déclaré le porte parole du Quai d’Orsay lors d’un point de presse.
« Les autorités birmanes ont perdu l’occasion de démontrer qu’elles souhaitent engager un véritable processus de réconciliation nationale et de démocratisation. La France partage pleinement les préoccupations exprimées par le Secrétaire général des Nations unies au cours de cette visite. Nous réaffirmons notre plein soutien à sa mission qui porte les attentes de la communauté internationale à l’égard des autorités birmanes. » a précisé le ministère des affaires étrangères.