Pour l’heure l’ambassade française a Téhéran n’aurait pas, selon le Quai d’Orsay, reçu de demandes d’asile politique de la part de citoyens iraniens. Si les journalistes n’ont plus accès au territoire iranien, quelques maigres sources font état de la répression du régime sur les manifestants qui continueraient à protester contre l’élection d’Ahmadinejad à la présidence du régime.
Pour l’heure la France n’envisage pas de sanctions bilatérales et reste dans la droite ligne des résolutions votées par le Conseil de sécurité des Nations Unies … sur le dossier nucléaire.
Mais le ministère des affaires étrangères de Bernard Kouchner vient d’annoncer que la situation en Iran « sera examinée à l’occasion de la réunion des ministres des Affaires étrangères du G8 à Trieste les 25 et 26 juin ».