Le Secrétaire général des Nations Unies Ban ki Moon a plaidé pour qu’en cas de pandémie due au virus H1N1, « aucune nation n’ait à faire face toute seule à cette menace. »
« Les nations pauvres sont particulièrement vulnérables », a-t-il prévenu, estimant que pour l’instant, la réponse internationale était un exemple idéal de coopération multilatérale.
De son côté, la porte-parole du Secrétaire général, Michèle Montas, a indiqué, lors de son point de presse quotidien, au siège de l’ONU, à New York, que l’OMS avait activé son Centre d’opérations stratégiques et son Comité d’urgence créé en 2005, afin de décider si le niveau d’alerte pandémique devrait être relevée.