7 auteurs présumés d’un viol collectif sur le parking d’une discothèque toulousaine seront présentés à un juge vendredi après 24 heures de garde à vue. Ils devraient être mis en examen pour viol en réunion et probablement incarcérés en maison d’arrêt.
[su_dropcap style= »flat » size= »5″]L[/su_dropcap]’enquête de police a été efficace. Elle pourrait désormais aboutir à des mises en examen. Et de lourdes sanctions pénales devant la cour d’assises. Mercredi matin, de nombreux policiers et gendarmes ont procédé à une série d’arrestations dans un camp de gens du voyage à Toulouse et dans les Pyrénées Atlantiques. 10 personnes ont été interpellés. Elles sont soupçonnées d’avoir participé à un viol collectif sur deux jeunes femmes. Les faits se seraient passés dans la nuit du 24 au 25 janvier dernier sur le parking d’une discothèque de Ramonville dans la banlieue de Toulouse. Sur les 10 personnes placées en garde à vue, 7 seront présentés à un magistrat en vu de leur mise en examen pour des faits qualifiés de « viols en réunion ». Des prélèvements ADN réalisés sur les deux jeunes victimes ont permis de confondre les auteurs des faits tous âgés de 20 à 30 ans.