IEP de Toulouse Acté par la majorité Cohen, le projet de déplacement de l’Institut d’Etudes Politiques Quai Saint Pierre a été retoqué par la nouvelle majorité municipale dirigée par Jean Luc Moudenc. Une solution d’urgence a été annoncée. Les critiques sont nombreuses.
IEP Sciences Po Toulouse – L’Institut d’Etudes Politiques de Toulouse ne déménagera pas Quai Saint Pierre dans des bâtiments propriété de la Communauté urbaine. Le projet acté par la précédente majorité municipales a été retoqué par Jean Luc Moudenc. Une solution d’urgence a été annoncée cette semaine. Les critiques sont nombreuses.
Du côté de la direction de l’Institut Politique de Toulouse on dénonce une décision prise « en pure opportunité » condamnant Sciences Po Toulouse « à végéter » avec à la clé une situation « ingérable » et à terme une « mise en péril ».
Pierre Cohen « dénonce une décision prise à la va vite »
« Jean-Luc Moudenc a obtenu l’abandon du projet de relogement de l’IEP dans les bâtiments du Quai St-Pierre achetés expressément par la Communauté urbaine à ces fins. Une fois de plus, il sacrifie un projet structurant pour la métropole toulousaine sur l’autel de ses promesses électoralistes, alors même qu’il avait voté la délibération qui actait ce déménagement.
Après nous avoir expliqué que les caisses de la Ville étaient vides et lancé un plan draconien d’économie au sein de la collectivité, Jean-Luc Moudenc n’hésite pas, pour arriver à ses fins et sauver la face auprès de son électorat, à jeter par la fenêtre plus de deux millions d’euros, soit la moitié du prix de vente à l’Université de l’immeuble du Quai St-Pierre.
Les solutions proposées ne sont qu’une triste partie de chaises musicales indigne des conditions d’accueil d’une école qui fait le fleuron de la deuxième ville étudiante de France et ne résout pas à long terme les problèmes urgents de relogement auxquels doit faire face l’IEP. Pendant près de 6 ans, 1500 étudiants vont devoir déménager au minimum trois fois dans des sites précaires, sans connaître le lieu définitif d’installation, alors que le Quai St Pierre pouvait leur assurer un accueil pérenne et de qualité en plein œur du quartier universitaire de Toulouse. Il s’agit une fois de plus d’une décision prise à la va-vite sans avoir consulté les instances délibérantes et les principaux acteurs concernés. Au final, ce sont les étudiants et l’IEP qui feront les frais de ces petits arrangements ».
Martin Malvy « regrette l’abandon du projet »
Martin Malvy, président de la Région Midi-Pyrénées, a adressé à Jean-Luc Moudenc, maire de Toulouse, ce jeudi 17 juillet, le courrier suivant, concernant le relogement de l’Institut d’études politiques (IEP) de Toulouse :
« Monsieur le Maire,
J’apprends par un simple communiqué de presse, à la suite d’une réunion à laquelle la Région n’a pas été associée, l’abandon du projet d’installation de l’IEP quai Saint Pierre qu’au terme de 3 ans d’explorations diverses entre la Communauté d’Agglomération, Toulouse 1 Capitole, l’établissement et les services des Bâtiments de France, la Région avait décidé de soutenir à hauteur de 2 M€, dans le cadre du Contrat de Plan Etat Région. Comme vous le savez l’IEP ne peut continuer à fonctionner dans les locaux actuels où il n’est pas autorisé par la commission de sécurité à demeurer au-delà de septembre 2016. Vous évoquez dans ce communiqué plusieurs hypothèses provisoires mais renvoyez à une étape ultérieure la solution définitive. Ceci ne peut que compliquer les conditions d’exercice des enseignements. J’appelle donc tout spécialement votre attention sur la nécessité de régler au plus tôt la question du relogement définitif de l’IEP, de ses enseignants et étudiants dont l’inconfort est reconnu par tous. La Région maintiendra sa participation à hauteur de l’engagement pris mais ne saurait la majorer, le projet qui avait été approuvé lui ayant semblé répondre à la fois aux besoins et aux préoccupations d’ordre esthétique mises en avant dans ce communiqué pour y renoncer. Dans l’attente de votre réponse, je vous prie de croire, Monsieur le Maire, à l’assurance de mes sentiments distingués. »
Photo : un appel au soutien du déménagement de l’IEP de Toulouse dans les bâtiments situés Quai Saint Pierre avait été lancée Photo Toulouse7.com capture d’écran souscription.sciencespo-toulouse.fr
Il faut quand on le peut ne pas blesser, ce n’est pas évident, entre adultes il faut essayer d’avoir un respect mutuel et ne pas blesser les enfants quand il y a des histoires d’amour avec des enfants, eux ne sont responsables de rien…..
Ma porte est ouverte et Jean-Pierre n’a jamais mangé personne…j’ai désormais à la fois une force et une fragilité comme tout le monde
Il faut je crois exprimer ses sentiments, cela permets de ne pas avoir de regrets, chacun est libre et chacun reste libre l’amour est précaire ou durable, ce n’est la faute de personne c’est la vie, il faut etre sincère et honnète, on a du mal à expliquer le sentiment amoureux, c’est un ensemble de choses, il ne faut pas craindre l’amour, il faut en tirer le meilleurs quand on le peut, les circonstances de la vie peuvent contrarier un amour, roméo et juliette ce n’est pas si vieux.
J’ai eu le courage de déclarer mon amour à la fille dont j’étais tombé amoureux, devant la porte de l’Institut d’études politiques de Toulouse, 1986 j’avais 21 ans elle en avait 19, à l’époque ce n’était pas réciproque, mon meilleurs ami m’a dit tu es fou il faut rien dire aux filles…