Gainsbourg, Gainsbarre né en 1928, est mort voilà 20 ans. D’une vie trop remplie. Auteur-compositeur-interprète de génie Gainsbourg aborda de nombreux styles musicaux rock, pop, yé yé, jazz, reggea, etc, ainsi que le cinéma et la littérature. Ses débuts sur scène furent difficiles, en raison de son physique. Toute sa vie, Serge Gainsbourg souffrit de ce sentiment de rejet et de l’image que lui renvoyait son miroir : celle d’un homme que l’on qualifiait de laid
De relations en relations, Gainsbourg séduira de très jolies femmes, de Brigitte Bardot à « Bambou », Caroline Paulus de son vrai nom, qui lui donnera son dernier enfant, Lucien, « Lulu », en passant par Jane Birkin, avec qui il aura sa fille Charlotte Gainsbourg.
Gainsbourg a eu une influence considérable sur de nombreux artistes.
(avec Wikipedia)
Voici une liste non exhaustive de quelques unes des ses plus grandes chansons :
1958 : Le Poinçonneur des Lilas,
1960 : L’Eau à la bouche
1961 : La Chanson de Prévert
1962 : La Javanaise
1964 : Couleur Café, New York U.S.A.
1965 : Poupée de cire poupée de son
1966-1968 : Comic Strip, Initials B.B., Bonnie and Clyde
1969 : Je t’aime… moi non plus, Elisa, 69, année érotique
1971 : Ballade de Melody Nelson
1972 : La Décadanse
1973 : Je suis venu te dire que je m’en vais
1975 : Rock Around the Bunker
1979 : Aux armes et cætera, Lola Rastaquouère, Vieille Canaille
1980 : Harley-Davidson, Dieu fumeur de Havanes
1981 : Ecce homo,
1984 : Love on the Beat, Sorry Angel
1985 : Lemon Incest
1987 : You’re under arrest
« Je suis venu te dire que je m’en vais »
Je suis venu te dir’que je m’en vais
et tes larmes n’y pourront rien changer
comm’dit si bien Verlaine « au vent mauvais »
je suis venu te dir’que je m’en vais
[Répétition] :
tu t’souviens des jours anciens et tu pleures
tu suffoques, tu blémis à présent qu’a sonné l’heure
des adieux à jamais
oui je suis au regret
d’te dir’que je m’en vais
oui je t’aimais, oui, mais- je suis venu te dir’que je m’en vais
tes sanglots longs n’y pourront rien changer
comm’dit si bien Verlaine « au vent mauvais »
je suis venu d’te dir’que je m’en vais
tu t’souviens des jours heureux et tu pleures
tu sanglotes, tu gémis à présent qu’a sonné l’heure
des adieux à jamais
oui je suis au regret
d’te dir’que je m’en vais
car tu m’en as trop fait
je suis venu te dir’que je m’en vais
et tes larmes n’y pourront rien changer
comm’dit si bien Verlaine « au vent mauvais »