Le premier ministre d’Emmanuel Macron, Édouard Philippe fait face à la colère des Gilets jaunes. Une situation difficile pour le locataire de Matignon, et traditionnel «fusible» dans la Constitution de la Ve République. Dans une interview publiée ce dimanche par le JDD, Édouard Philippe reconnaît «prendre des coups». Mais de rajouter «La politique, c’est comme la boxe, dit-il d’ailleurs. Quand vous montez sur le ring, vous savez que vous allez prendre des coups. J’en prends. Je peux en donner aussi. J’aime ça.»
Dans le viseur d’une motion de censure déposée par les groupes PS, PCF et Fi, Édouard Philippe a reçu, sans surprise la semaine dernière, la confiance, de la très large majorité des députés Lrem.