
Être étudiant est désormais un travail à part entière. Dans les grandes villes étudiantes, l’inflation immobilière et celui des prix pèsent lourd sur les étudiants. À Toulouse, le coût de la vie augmente et oblige les jeunes des campus de Rangueil ou du Mirail à chercher une source de revenus plus avantageuse que par le passé. Or, ce job doit être souple, rémunérateur et utile. Un emploi étudiant classique ne remplit pas toujours ces critères. Heureusement, le tutorat est la solution parfaite pour financer ses études sans sacrifier ses révisions.
Au-delà de l’argent : un job qui a du sens
En 2025, le tutorat est le job à impact social pour les étudiants. Contrairement aux petits travaux contre rémunération, vous aidez concrètement un élève à progresser, retrouver confiance et atteindre ses objectifs scolaires.
Ainsi, vous ne faites que gagner de l’argent : vous transmettez votre savoir et vous jouez un rôle de mentor essentiel. N’hésitez pas à en savoir plus sur cette activité qui a du sens dans la vie de plusieurs personnes. Le rôle demande de développer de la pédagogie et de la patience qui sont des qualités précieuses pour votre CV.
La rentabilité financière : le cours particulier gagnant par KO
Bien entendu, offrir des cours particuliers à Toulouse permet de gagner de l’argent. Dans la pratique, le taux horaire moyen pour un tuteur se situe entre 15 € et 25 € l’heure. Ce montant est largement supérieur au salaire minimum. Ce revenu rapide permet de couvrir le coût de la vie toulousaine.
Le tutorat est aussi flexible. Ce travail convient aussi parfaitement avec la demande actuelle de télétravail. L’étudiant sélectionne ses heures et peut travailler en ligne, ce qui réduit les temps de trajet et augmente la productivité. La réglementation française fixe le salaire minimum à un niveau précis pour tous les emplois classiques.
Vous pouvez d’ailleurs cliquer ici pour en savoir davantage. En comparaison, le tutorat se place comme la meilleure source de revenus pour l’étudiant sans exiger de présence physique constante.
Le « job étudiant » classique à Toulouse : un calcul encore rentable ?
De nombreux étudiants se tournent encore vers les emplois faciles à obtenir et difficilement adaptés à la vie quotidienne. Il s’agit entre autres des métiers de la restauration à la Place Saint-Pierre, la vente sur la rue d’Alsace-Lorraine ou la livraison.
Ces postes imposent des contraintes importantes qui s’opposent aux études. Leurs horaires sont rigides et peu compatibles avec le rythme universitaire. Aussi :
- le salaire se limite au SMIC horaire autour de 11,65 € brut;
- les horaires demandent une grande présence y compris tard le soir ou durant le week-end ;
- la fatigue générée par un travail physique nuit à la concentration.
Ainsi, ces travaux sont pénibles à long terme et n’offrent aucune souplesse pour réviser efficacement avant les examens.

