Suite aux récentes révélations d’agressions sexuelles commises par l’abbé Pierre, la Conférence des évêques de France a ouvert l’accès à ses archives plus tôt que prévu. Ces documents montrent que, dès les années 1950, la hiérarchie ecclésiastique avait connaissance de son comportement jugé « problématique » et de son état mental fragile.