«A bout de souffle» (1960), Au côté de Jean Seberg, jeune étudiante américaine à Paris, Jean-Paul Belmondo, en truand amoureux, irradie ce premier long-métrage de Jean-Luc Godard devenu le manifeste de la Nouvelle Vague . «L’Homme de Rio» (1964), Deux ans après le succès de «Cartouche», un film de cape et d’épée avec Claudia Cardinale, il tourne à nouveau avec Philippe de Broca. Destination cette fois le Brésil pour un film tourbillonnant, à 200 à l’heure, avec l’étincelante Françoise Dorléac. «La Sirène du Mississipi» (1969), Le film ne rencontre pas son public à sa sortie mais devient un classique avec le temps. «Borsalino» (1970), Ce film de Jacques Deray réunit pour la première fois à l’écran les deux grandes stars masculines du cinéma français, Jean-Paul Belmondo et Alain Delon. «L’As des as» (1982), Sous la direction de Gérard Oury, il est Jo Cavalier, ancien pilote de la Première Guerre mondiale qui, 20 ans plus tard, est devenu entraîneur de boxe et doit se rendre en Allemagne nazie pour les Jeux olympiques de 1936. «Itinéraire d’un enfant gâté« (1988), Claude Lelouch offre là à Jean-Paul Belmondo son dernier très grand rôle au cinéma, couronné du César du meilleur acteur