La police a procédé mardi à une perquisition dans le domicile du fondateur du Front National. Jean-Marie Le Pen se défend « Je suis la cible d’une persécution de la part du pouvoir ». Cette perquisition intervient dans l’affaire dite des assistants parlementaires du FN.
Madame Taubira
Label : BFM TV
[su_dropcap]L[/su_dropcap]a villa de Jean-Marie Le Pen à Saint-Cloud a été perquisitionnée ce mardi par la police, dans le cadre de l’enquête sur les assistants parlementaires du Front National. Le fondateur du parti d’extrême droite a expliqué à BFMTV qu’il n’y a « que mes slips qu’ils n’ont pas regardé ». « Je suis semble-t-il la cible d’une persécution délibérée du pouvoir, et maintenant du parlement européen », a-t-il déclaré. « Je croyais que tout ça était dû à madame Taubira, à moins que ce n’était dans les tuyaux avant qu’elle ne parte », a affirmé Jean-Marie Le Pen.




