Alexandre Grothendiek, mathématicien d’exception est décédé. Le président de la République François Hollande a tenu à lui rendre hommage.
Alexandre Grothendiek – Le Président de la République François Hollande « a appris la disparition de l’un de nos plus grands mathématiciens », Alexandre Grothendiek a indiqué l’Elysée vendredi matin. Né en Allemagne en 1928, Alexandre Grothendiek a été accueilli et caché en France alors qu’il était adolescent, pendant la Seconde guerre mondiale. C’est ensuite en France qu’il entreprendra ses travaux dans le domaine de la géométrie algébrique, notamment au CNRS et à l’Institut des Hautes Etudes Scientifiques, dont il a grandement contribué à construire la réputation mondiale. Il a acquis la nationalité française en 1971. Alexandre Grothendiek était également une personnalité hors du commun dans sa philosophie de la vie a t on souligné dans l’entourage du chef de l’Etat.
caché, oui mais la police française a livré son père mort à Austwitch, français oui mais il n’a accepté la nationalité française, il a été patride sous statut de l’ONU qu’à la suite de la réforme du service militaire, qu’il ne voulait pas effectuer. Grand mathémacien, les plus grand, homme exceptionnel oui car il a cessé toute activité quand il a compris que les scientifiques devaient passer sous les fourches caudines du financement militaire si ils voulaient obtenir des crédits de recherche, exceptionnel, oui parce qu’il a fondé l’écologie radicale au vu de l’urgence de la situation il y a quarante ans, revue Survivre, imbuvable certainement puisqu’il a tout abandonné considérant que l’humanité courait à sa perte et que cette contestation ne faisait que renforcer le productivisme, philosophe certainement puisqu’il s’est nié lui-même pour ne pas collaborer avec les puissances destructrices considérant qu’il était homme parmi les hommes, un point c’est tout, sur une terre condamnée dotée d’une espèce auto destructrice dans un univers infini mais lui aussi mortel. Un presque Toulousain qui habitait à côté de montesquieux_Volvestre qui fuyait ce monde, ses apparences et ses honneurs. C’était l’homme à l’enfance forcément solitaire qui n’avait pas d’amis, ses seuls liens étant ceux de sa passion pour les mathématiques et dont la relation aux autres n’était que dans l’abstraction, un pur asperger, invivable au quotidien mais honnête et sincère.