L’avenir du Groupe Doux, de ses salariés, de ses fournisseurs, va se jouer dans les heures, dans les jours prochains. Jeudi, nous connaîtrons l’ensemble des offres. Le 16 juillet, nous saurons quelle option sera retenue par le tribunal de commerce de Quimper.
« Le Groupe Doux est profondément enraciné dans les territoires ruraux. Il importe de maintenir son implantation et le lien avec les producteurs locaux. La production de volaille française a besoin d’investisseurs de long terme, engagés dans une stratégie d’avenir par le développement d’un outil industriel performant » ont précisé le ministre du redressement productif Arnaud Montebourg et celui de l’agriculture, Stephane Le Foll dans un communiqué commun. « Pour sa part, le Gouvernement encourage une solution globale qui apporterait la stabilité à la filière avicole. Surtout, le meilleur projet sera celui qui, autour d’un vrai projet industriel, permettra de sauver un maximum d’emplois. A ce titre, le Gouvernement sera particulièrement attentif à la qualité sociale des offres » ont ils précisé.
ou mettre en place une autre stratégie
Encore faudrait il qu’un repreneur soit intéressé. Si Mr Doux cesse son activité en raison des problèmes financiers énormes dans cette filière, il faudrait être prétentieux pour investir en espérant faire mieux.