Pour Christine de Veyrac, députée européenne et patronne de l’UMP 31 « La réforme des retraites ne doit être le prétexte ni à la violence, ni aux blocages, ni à la prise d’otage du pays ».
A Toulouse, alors que le siège de l’UMP situé rue Gabriel Péri reste protégé par des cordons de CRS, De Veyrac dénonce aujourd’hui « Les actions de casseurs, qui se multiplient, sont inacceptables tout comme le blocage des raffineries ».
« Le droit de grève n’est ni le droit de bloquer le fonctionnement normal de l’économie, ni celui de porter atteinte à la libre circulation de nos concitoyens, ni celui d’empêcher les français qui veulent travailler de pouvoir continuer à le faire. En démocratie, la légitimité appartient aux parlementaires démocratiquement élus par nos concitoyens, et aux 64 millions de français qui ne manifestent pas » a rajouté la députée européenne.
« La Violence et le Conflit ne servent ni le redressement économique, ni la sauvegarde du système par répartition des retraites » a conclu celle qui remet cette semaine son mandat de présidente de l’UMP 31 en jeu.