Le Secrétaire général s’est déclaré jeudi profondément préoccupé par la crise politique et constitutionnelle au Niger, qui menace de déstabiliser le pays et de saper les progrès accomplis au cours des dernières années pour consolider la gouvernance démocratique et l’état de droit.
Ban ki-moon « regrette les décisions récentes prises par le Gouvernement du Niger, qui ont fait qu’il est extrêmement difficile pour les institutions démocratiques du pays et la Cour constitutionnelle, de jouer leur rôle de garants de l’état de droit ».
Le Secrétaire général appelle à la retenue et au dialogue politique pour résoudre la crise, précise la déclaration.
Le Secrétaire général offre en outre ses bons offices, « pour travailler avec les partenaires régionaux, en particulier l’Union africaine et la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), en vue de trouver une solution à cette crise politique ».