Les murs du quartier de la gare et de la place Belfort conservent les traces de la journée de la femme 2009.
Plusieurs activistes ont décidé d’exprimer au pochoir et à la bombe à peinture leur position sur le sujet.
En prolongeant la manifestation qui s’est tenue dans la nuit du samedi 7 au dimanche 8 mars pour célébrer la journée internationale de la femme.
Avec un slogan accrocheur « le jour je me rase les jambes, la nuit je rase les murs » les membres de ce collectif souhaitaient alerter le public sur les violences faites aux femmes. Violences physiques ou violences économiques.
Les pochoirs et slogans affichés sur les murs de la villes rose évoquent également l’émancipation de la femme du XXIe siècle.
Voir le slide ci dessous :