A quelques semaine de la date prévue pour l’ouverture du procès AZF, l’association de victimes Plus Jamais ça Ni ici Ni ailleurs(PJC Nina) vient de saisir le Préfet sur la sécurité du quartier jadis lourdement touché par l’explosion du 21 septembre 2008.
Avec une question centrale : le site militaire (flouté sur l’application photo Google Map et Google Earth) situé face à l’ancien site AZF.
La presse et notamment le Canard Enchaîné s’est longuement fait l’écho de supposés stocks d’armes chimiques entreposés sur place, dans les ballastières situées sur le lit de la Garonne.
Les riverains s’inquiètent et demandent désormais des éclaircissement au représentant de l’Etat dans le département.
Dans le courrier que s’est procuré la rédaction de Toulouse7.com l’association demande « une information consistante avec des engagements planifiés et des actions dans l’immédiate continuité de ces engagements. »
Autres interrogations des riverains du futur Canceropôle : les plans de réactions rapide face au risque technologique pour lesquels les membres de l’association, composée de nombreux riverains, n’auraient pas été consultés, conformément à ce que prévoyait la loi.
Fae à l’installation d’un pôle médical annoncé gigantesque, les riverains de cette association s’inquiètent et demandent au Préfet de région Dominique Bur, de « bien vouloir impulser dans ses services une énergie nouvelle » sur ces sujets « qui semblent mériter une attention plus soutenue » de la part des services spécialisés. »